Ekhö, monde miroir

Titre : Ekhö, monde miroir

Auteur : Christophe Arleston

Edition : Soleil

Nombre de pages : 48

Catégorie : Fantasy

Résumé : Quand Fourmille prend son avion pour New York, elle est loin de s’imaginer que son voyage va prendre un tour étrange. Au milieu du vol, elle est abordée par une étrange créature qui lui demande si elle accepte l’héritage d’une tante disparue depuis 20 ans. Et après qu’un éclair ait touché le 747, c’est à bord d’un dragon qu’elle atterrit à New York. 

Elle découvre alors un monde complètement décalé, où tout est semblable à la Terre, mais tellement différent. Ici, pas d’électricité, et c’est dans un Manhatan d’heroic fantasy qu’elle se trouve plongée. Au cœur de l’intrigue, une race étrange, les Preshauns, qui semble dominer cet univers parallèle, Ekhö.

Mon avis :

*****

Cette BD je l’ai acheté pour l’anniversaire de mon petit frère. Mais elle m’intriguait tellement que je l’ai lu avant de lui offrir.

Fourmille est à bord d’un avion pour se rendre à New York, alors qu’elle dort tranquillement quelqu’un se met à lui parler. Elle ouvre donc les yeux et découvre qu’il s’agit ni plus ni moins d’un petit rongeur qui viens lui parler de l’héritage de sa tante,  morte il y a plusieurs années. Chose encore plus étrange, elle la seule à pouvoir voir et entendre cette étrange petite créature. 

Encore sous le choc la jeune fille accepte l’héritage de sa tante et l’avion est pris dans des turbulences très violentes. Fourmille s’accroche désespérément à son voisin jusqu’à ce que tout se calme. 

Ils se retrouvent tous les deux dans un étrange avion avec d’étrange passager. Les deux voyageurs sont loin d’être au bout de leurs surprises.

Pour commencer je dirais WOUAH ! Les dessins sont exceptionnels ! Les couleurs très vives et l’histoire très mouvementé. 

Nous découvrons un monde très différent du nôtre, peuplé de créature vraiment bizarre et parfois très chou ! L’héroïne principale à un très fort caractère et est très vive.  Pas le temps de s’ennuyer.

Dès le premier tome on se retrouve dans le vif du sujet, on découvre les personnages au fil de la BD. Le seul hic est la police d’écriture. J’ai eu beaucoup de mal à la déchiffrer.  

Sinon je pense que je n’ai rien à lui reprocher

Cette BD n’est pas destinée à un public trop jeune (à partir de 12 ans peut-être). En tous cas j’ai hâte d’offrir la suite à mon frère, pour pouvoir les lire.